La magie d'une voix, c'est de nous faire percevoir le sacré. La musique est le dernier dépositaire d'une magie, qui nulle part ailleurs qu'en Orient, n'est aussi perceptible. André Manoukian nous embarque vers le Levant de ses ancêtres, guidé par les Balkanes qui ont mêlé leurs voix bulgares au jazz atmosphérique de son trio.
“Une quête vers ses racines arméniennes, vers l’Orient et surtout vers de nouvelles dimensions musicales. Son trio s’associe au chœur féminin Les Balkanes pour délivrer des compositions aux arrangements inédits, portés à la fois par la créativité du jazz et la puissance des chants bulgares.”_ Dicila.media
« Anouch a inspiré la chanson qui donne son titre à l’album. Anouch était une randonneuse. Anouch était ma grand-mère. En 1915 elle a parcouru à pied 1000 km d’Amasya à Deir es-Zor. Si elle a survécu, c’est qu’elle avait une grande gueule et qu’elle a su émouvoir le commandant turc du convoi qui la déportait. Anouch, en arménien, ça veut dire doux, sucré. Ça tombe bien, la musique c’est du sacré et … du sucré »
Avec en invité chant Dafné Kritharas
Avec Balkanes :
Anouch a inspiré la chanson qui donne son titre à l’album. Anouch était une randonneuse. Anouch était ma grand-mère. En 1915 elle a parcouru à pied 1000 km d’Amasya à Deir es-Zor. Si elle a survécu, c’est qu’elle avait une grande gueule et qu’elle a su émouvoir le commandant turc du convoi qui la déportait. « Anouch, en arménien, ça veut dire doux, sucré. Ça tombe bien, la musique c’est du sacré et … du sucré ». André Manoukian nous embarque vers le Levant de ses ancêtres, guidé par les Balkanes qui ont mêlé leurs voix bulgares au jazz atmosphérique de son trio.
Semaine autour du piano avec le Conservatoire d’agglomération.